La vitamine C tout le monde connaît... qui n'en a pas pris pour lutter contre les petits maux de l'hiver, les maladies virale, la fatigue...
On le sait, la vitamine C (ou acide ascorbique) joue un rôle important dans le fonctionnement de notre organisme. Ce que l'on sait peut être moins, c'est qu'elle agit sur la cicatrisation, la protection des parois des vaisseaux sanguins, l'absorption du fer d'origine végétal....son rôle antioxydant lui confère des propriétés intéressantes dans la protection contre le cancer et les maladies cardiovasculaires ! Il est donc important d'en absorber suffisamment. En situation normale, la consommation de 500 g. de fruits et légumes (soit 2 fruits et une portion de 200 g. de légumes) par jour permet de couvrir l'ensemble de nos besoins, Mais les besoins peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe, et d'autres facteurs tels que le stress chronique, le tabagisme, ou la consommation régulière d'alcool. Une supplémentation peut alors s'avérer nécessaire. Parlez en avec votre médecin ou votre diététicien. Dans tous les cas, à chaque saison, on mise sur les fruits et les légumes riches en vitamine C : poivron, brocolis, kiwi, goyave, fruits rouges, agrumes !
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Entrée |
Pas le temps d'aller à la salle de sport ? |
Des panneaux thématiques vous renseignent sur la faune et la flore que vous pourrez croiser en chemin.
Tarif : gratuit.
Durée : 1h30.
Difficulté : facile.
En savoir plus sur Savoie-mont-blanc.com
30% de la production alimentaire mondiale est jetée. Cela représente 7 fois ce qu'il faudrait pour nourrir l'ensemble de la population. En France ce serait 50% de la nourriture produite qui serait jetée !
28% des superficies cultivées servent à produire des aliments qui iront à la poubelle...
Pourtant, avec quelques gestes simples, chacun peut limiter les quantités de nourriture jetée :
- j'achète uniquement les quantités nécessaires : les lots coutent moins chers uniquement s'ils sont utilisés...
- je regarde ce qu'il reste dans mes placards avant d'aller faire mes courses
- first in, first out : lorsque je rentre des courses, je mets les produits déjà présent dans le réfrigérateur et les placards devant et les nouveaux derrières : ainsi les dates limites sont respectées.
- si je vois que je ne vais pas finir les légumes stockés au réfrigérateurs : je les coupe en morceaux et les mets au congélateur : je les utiliserai dans une soupe ou un plat complet
- Je ne jette plus les petits restes : je les réutilise sous d'autre formes ou alors je mets en place une soirée "restes"
Non seulement je fais un geste pour mon porte monnaie, mais aussi pour l'environnement !
pour en savoir plus, une petite vidéo réalisée par l'ADEME : www.youtube.com/watch?v=59FH0MkMxf4
28% des superficies cultivées servent à produire des aliments qui iront à la poubelle...
Pourtant, avec quelques gestes simples, chacun peut limiter les quantités de nourriture jetée :
- j'achète uniquement les quantités nécessaires : les lots coutent moins chers uniquement s'ils sont utilisés...
- je regarde ce qu'il reste dans mes placards avant d'aller faire mes courses
- first in, first out : lorsque je rentre des courses, je mets les produits déjà présent dans le réfrigérateur et les placards devant et les nouveaux derrières : ainsi les dates limites sont respectées.
- si je vois que je ne vais pas finir les légumes stockés au réfrigérateurs : je les coupe en morceaux et les mets au congélateur : je les utiliserai dans une soupe ou un plat complet
- Je ne jette plus les petits restes : je les réutilise sous d'autre formes ou alors je mets en place une soirée "restes"
Non seulement je fais un geste pour mon porte monnaie, mais aussi pour l'environnement !
pour en savoir plus, une petite vidéo réalisée par l'ADEME : www.youtube.com/watch?v=59FH0MkMxf4
L'eau est indispensable à la vie. C'est le principal constituant de notre organisme (70% du poids du corps environ). Grâce à cette eau, le corps va pouvoir utiliser l'énergie apportée par notre alimentation, mais aussi maintenir la chaleur du corps, le volume de notre sang, ou encore éliminer les déchets produits tout au long de la journée...
C'est pourquoi nous perdons chaque jour en moyenne 2 litres d'eau dans un climat tempéré. Lorsque l'on pratique un sport, les pertes en eau sont encore plus importantes : de 1 litre pour un entrainement d'une heure jusqu'à 4 litres pour un match de rugby !
La déshydratation est la principale source de blessure chez le sportif, et notamment la principale cause de tendinites. Elle réduit également les performances.
Il est primordial pour un fonctionnement optimum de notre organisme de ne pas se déshydrater, et de ne pas attendre d'avoir soif pour boire. Lorsqu'on a soif on a déjà perdu 10% de ses capacités physiques !
On boit donc avant pendant et après l'effort !
Faut-il boire une boisson spécifique durant l'entrainement ?
Si l'entrainement dure entre 1h et 1h30, l'eau est la boisson de référence.
Lorsque l'entrainement ou l'effort se prolonge, il devient important d'opter pour une boisson de l'effort. Ces boissons sont très simplement réalisables à domicile :
Pour des efforts d'une durée inférieure à 3h, en salle ou avec une température modérée :
- 20 à 30 g. de glucides (sucre de table, jus de fruits, sirop de fruit)
- 1 g. de sel (si transpiration importante)
Pour des efforts d'une durée inférieure à 3h, avec une température extérieure froide :
- 30 à 50 g. de glucides (sucre de table, jus de fruits, sirop de fruit)
- 1 g. de sel (si transpiration importante)
Pour des efforts d'une durée supérieure à 3h
- 20 g. de glucides (sucre de table, jus de fruits, sirop de fruit)
- 1 g. de sel
- 0,4 g. de sel de potassium par litre
Pour obtenir 30 g. de glucides, vous pouvez utiliser :
- 30 g. de sucre de table
- 200 ml de jus de fruits
Et les boissons du commerce ?
Les boissons énergétiques du commerce, en dehors d'un coût parfois élevé, apportent en général beaucoup de calories : il faut donc veiller à l'équilibre global au cours de l'effort c'est à dire à ce que l'apport ne soit pas supérieur à la dépense énergétique. Elles peuvent être mélangées à de l'eau pour un meilleur contrôle.
Les boissons hypertoniques, énergisantes ou stimulantes composées de sucres, caféine, guarana ou autres minéraux n'ont quant à elles aucun intérêt démontré pour le sportif.
Je choisis quoi ?
Des chercheurs de l’université de l’université de Bath, Northumbria, Newcastler, et Maastricht ont mené un petit essai randomisé pour comparer les effets du saccharose ajouté à de l’eau et du glucose contenu dans les boissons énergisantes avant et pendant l’exercice d’endurance.
Les 2 formules ont permis aux participants de maintenir leurs réserves en glucose de l’organisme mais le saccharose a débouché sur une meilleure performance :
De l'eau et du saccharose suffisent à maintenir des réserves suffisantes de glycogène durant l’effort avec moins d’inconfort intestinal. (source American journal of physiology, endocrinology et and métabolism)
Si je me suis bien hydraté pendant l'effort, est-il utile de boire encore après l'effort ?
Oui il est indispensable de boire après l'effort. On peut opter pour une eau riche en bicarbonate et en sodium (Vichy Saint Yorre, Vichy Célestin, Badoit...).
Mais le lait peut être également un allier dans la récupération :
En effet, bien que les glucides soient importants dans la récupération, on sait maintenant qu’un apport en protéines est indispensable. L’effort physique entraine une augmentation des besoins en protéines.
Pendant l’effort, il y a une perte de protéines musculaires. Après l’effort, la perte protéique se poursuit pendant un certain temps avec en parallèle le démarrage de la reconstruction musculaire. Cette phase nécessite l’apport de protéines et d’acides aminés.
Pourquoi le lait ? (Source Cerin : question réponses avec le professeur Xavier Bigard (Professeur agrégé du Val de Grace, département recherche Insep, conseil scientifique du Pdt de l’agence française de lutte contre le dopage).
- les 2 types de protéines sont présentes et ont un intérêt complémentaire :
- C’est un aliment économique.
En savoir plus : Cerin - Nutri-doc n°87 Protéines et sport : du lait pour la récupération
C'est pourquoi nous perdons chaque jour en moyenne 2 litres d'eau dans un climat tempéré. Lorsque l'on pratique un sport, les pertes en eau sont encore plus importantes : de 1 litre pour un entrainement d'une heure jusqu'à 4 litres pour un match de rugby !
La déshydratation est la principale source de blessure chez le sportif, et notamment la principale cause de tendinites. Elle réduit également les performances.
Il est primordial pour un fonctionnement optimum de notre organisme de ne pas se déshydrater, et de ne pas attendre d'avoir soif pour boire. Lorsqu'on a soif on a déjà perdu 10% de ses capacités physiques !
On boit donc avant pendant et après l'effort !
Faut-il boire une boisson spécifique durant l'entrainement ?
Si l'entrainement dure entre 1h et 1h30, l'eau est la boisson de référence.
Lorsque l'entrainement ou l'effort se prolonge, il devient important d'opter pour une boisson de l'effort. Ces boissons sont très simplement réalisables à domicile :
Pour des efforts d'une durée inférieure à 3h, en salle ou avec une température modérée :
- 20 à 30 g. de glucides (sucre de table, jus de fruits, sirop de fruit)
- 1 g. de sel (si transpiration importante)
Pour des efforts d'une durée inférieure à 3h, avec une température extérieure froide :
- 30 à 50 g. de glucides (sucre de table, jus de fruits, sirop de fruit)
- 1 g. de sel (si transpiration importante)
Pour des efforts d'une durée supérieure à 3h
- 20 g. de glucides (sucre de table, jus de fruits, sirop de fruit)
- 1 g. de sel
- 0,4 g. de sel de potassium par litre
Pour obtenir 30 g. de glucides, vous pouvez utiliser :
- 30 g. de sucre de table
- 200 ml de jus de fruits
Et les boissons du commerce ?
Les boissons énergétiques du commerce, en dehors d'un coût parfois élevé, apportent en général beaucoup de calories : il faut donc veiller à l'équilibre global au cours de l'effort c'est à dire à ce que l'apport ne soit pas supérieur à la dépense énergétique. Elles peuvent être mélangées à de l'eau pour un meilleur contrôle.
Les boissons hypertoniques, énergisantes ou stimulantes composées de sucres, caféine, guarana ou autres minéraux n'ont quant à elles aucun intérêt démontré pour le sportif.
Je choisis quoi ?
Des chercheurs de l’université de l’université de Bath, Northumbria, Newcastler, et Maastricht ont mené un petit essai randomisé pour comparer les effets du saccharose ajouté à de l’eau et du glucose contenu dans les boissons énergisantes avant et pendant l’exercice d’endurance.
Les 2 formules ont permis aux participants de maintenir leurs réserves en glucose de l’organisme mais le saccharose a débouché sur une meilleure performance :
- aucune différence entre les 2 sur les réserves de glycogène hépatique
- la consommation d’hydrate de carbone s’avère plus élevée avec du saccharose qu’avec le glucose ce qui suggère que la première est plus efficace pour fournir de l’énergie
- la perception de l’effort est légèrement accrue avec le saccharose
- l’inconfort intestinal est moins signalé avec la boisson à base de saccharose
De l'eau et du saccharose suffisent à maintenir des réserves suffisantes de glycogène durant l’effort avec moins d’inconfort intestinal. (source American journal of physiology, endocrinology et and métabolism)
Si je me suis bien hydraté pendant l'effort, est-il utile de boire encore après l'effort ?
Oui il est indispensable de boire après l'effort. On peut opter pour une eau riche en bicarbonate et en sodium (Vichy Saint Yorre, Vichy Célestin, Badoit...).
Mais le lait peut être également un allier dans la récupération :
En effet, bien que les glucides soient importants dans la récupération, on sait maintenant qu’un apport en protéines est indispensable. L’effort physique entraine une augmentation des besoins en protéines.
Pendant l’effort, il y a une perte de protéines musculaires. Après l’effort, la perte protéique se poursuit pendant un certain temps avec en parallèle le démarrage de la reconstruction musculaire. Cette phase nécessite l’apport de protéines et d’acides aminés.
Pourquoi le lait ? (Source Cerin : question réponses avec le professeur Xavier Bigard (Professeur agrégé du Val de Grace, département recherche Insep, conseil scientifique du Pdt de l’agence française de lutte contre le dopage).
- avec les protéines de lactosérum (petit lait), la disponibilité en leucine (acidé aminé jouant un rôle essentiel pour la synthèse de protéine de structure du muscle) est bonne et rapide (20 à 30 mn)
- avec la caséine (protéine lente) disponibilité moins rapide des acides aminés et des effets intéressants à long terme (présence importante de leucine 3 à 5 heures après ingestion)
- les 2 types de protéines sont présentes et ont un intérêt complémentaire :
- le lactoséreum (20% des protéines du lait) assure les besoins à court terme
- la caséine (80% des protéines du lait) assure les besoins à moyen terme
- C’est un aliment économique.
En savoir plus : Cerin - Nutri-doc n°87 Protéines et sport : du lait pour la récupération
En France, la moitié des adultes qui consomment habituellement des yaourts en fin de repas y ajoutent spontanément un produit sucré (sucre en poudre, miel ou confiture). Une étude montre que la quantité de sucre ajouté est en moyenne de 13,6 g. soit davantage que dans les yaourts pré-sucrés (10,2 g.) Pour la confiture cela peut même aller jusqu'à 24,4 g.
Source : Nutri-doc avril 2016 (Saint-Eve A, et al. Appetite 2016;99:277-84)
Source : Nutri-doc avril 2016 (Saint-Eve A, et al. Appetite 2016;99:277-84)
Manger bio est un art de vivre... C'est également une prise de position : le respect de l'environnement, de la terre, des cultures, et des hommes.
Mais pour les géants de l'agro-alimentaire, les grandes enseignes, consommer bio prend un tout autre sens : c'est avant tout un marché lucratif, une nouvelle offre à proposer. Aussi, de nombreuses gammes de plats cuisinés bio apparaissent dans les rayons.
Les plats cuisinés bio sont-ils meilleurs à la santé que les plats cuisinés classiques ?
Pour le savoir, j'ai décidé de tester une ratatouille bio surgelée...
A lire les étiquettes on voit que les ingrédients qui la composent sont bio, pas d'aliments superflus, pas d'additifs. En dehors du sel, il y a un arôme naturel, et du sucre très certainement pour atténuer l'acidité des tomates.
Si l'on se contente de lire la composition on aura tendance à penser que cet aliment est sain. Le goût est quand à lui très correct.
Mais quand on regarde les valeurs nutritionnelles, on constate que les quantités de sucre et de sel sont importantes, tout comme dans les plats cuisinés classiques :
- la quantité de sucre ajouté avoisine les 7g. pour une portion de 200g. soit 7% des apports journaliers recommandés
- pour le sel on avoisine 26% de la dose journalière recommandée dans une seule portion de légumes ! L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recommande de ne pas dépasser 5 g. par jour. En France l’objectif dans le cadre de la loi de santé publique était de parvenir à une consommation moyenne de sel inférieure à 8 g. par jour par personne par rapport à une consommation moyenne de 10 g. L’excès de consommation de sel est un facteur de risque important de l’hypertension artérielle et de maladies cardiovasculaires.
Il faut donc être extrêmement vigilant et bien lire étiquettes des produits cuisinés, qu'ils soient bio ou non.
L'idéal ? acheter des légumes (bio de préférence) et les cuisiner ! En plus d'être meilleurs, vos plats vous reviendrons moins cher !
Mais pour les géants de l'agro-alimentaire, les grandes enseignes, consommer bio prend un tout autre sens : c'est avant tout un marché lucratif, une nouvelle offre à proposer. Aussi, de nombreuses gammes de plats cuisinés bio apparaissent dans les rayons.
Les plats cuisinés bio sont-ils meilleurs à la santé que les plats cuisinés classiques ?
Pour le savoir, j'ai décidé de tester une ratatouille bio surgelée...
A lire les étiquettes on voit que les ingrédients qui la composent sont bio, pas d'aliments superflus, pas d'additifs. En dehors du sel, il y a un arôme naturel, et du sucre très certainement pour atténuer l'acidité des tomates.
Si l'on se contente de lire la composition on aura tendance à penser que cet aliment est sain. Le goût est quand à lui très correct.
Mais quand on regarde les valeurs nutritionnelles, on constate que les quantités de sucre et de sel sont importantes, tout comme dans les plats cuisinés classiques :
- la quantité de sucre ajouté avoisine les 7g. pour une portion de 200g. soit 7% des apports journaliers recommandés
- pour le sel on avoisine 26% de la dose journalière recommandée dans une seule portion de légumes ! L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recommande de ne pas dépasser 5 g. par jour. En France l’objectif dans le cadre de la loi de santé publique était de parvenir à une consommation moyenne de sel inférieure à 8 g. par jour par personne par rapport à une consommation moyenne de 10 g. L’excès de consommation de sel est un facteur de risque important de l’hypertension artérielle et de maladies cardiovasculaires.
Il faut donc être extrêmement vigilant et bien lire étiquettes des produits cuisinés, qu'ils soient bio ou non.
L'idéal ? acheter des légumes (bio de préférence) et les cuisiner ! En plus d'être meilleurs, vos plats vous reviendrons moins cher !
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